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dimanche 24 mars 2013

Une rosière nommée Leslie

Leslie Leite-Vieira élue Rosière 2013

Leslie, entourée de ses deux dauphines :
Stéphanie Martinez, à gauche, et Lauriane Bouvier, à droite.

Sur le thème du cinéma...

On défile dans les rues d'Aubière...

Clin d’œil

L'association de sauvegarde des caves d'Aubière
a choisi les Dalton pour s'échapper
de leurs cachots caveaux souterrains...

lundi 17 décembre 2012

Notes historiques de l'abbé Chauny

Nous nous félicitons de l'initiative de l'un de nos adhérents, Gérard Bonhomme, qui publie aujourd'hui, les "Notes historiques" de l'abbé Paul Chauny.
Ce vicaire d'Aubière a sans doute été le premier à fouiller les archives aubiéroises, aussi bien aux archives départementales qu'aux archives communales.
Il publia ces notes historiques sur la période révolutionnaire, agrémentées de ses commentaires pastoraux, au gré de la parution du "Bulletin paroissial d'Aubière" entre 1906 et 1913. Après son départ d'Aubière en 1912, c'est son successeur, l'abbé Joseph Bouchet, qui poursuivit cette publication en 1912-1913.

"La Montagne" du jour





mercredi 12 septembre 2012

Un cousin qui nous veut du bien...


Christian Alligros

Ce cousin aubiérois qui nous veut du bien...

Christian Alligros, notre cousin et adhérent du CGHA, est aussi et avant tout un artiste qui se cache au fond de son impasse de la rue du Chambon.

Il mérite que l'on aille le débusquer...

Cliquez sur l'image pour l'agrandir


En savoir plus sur Christian Alligros


dimanche 9 septembre 2012

La chasse est ouverte !



Si la chasse aux ancêtres est autorisée à quiconque le désire toute l’année et sur la planète entière, la chasse aux gibiers est règlementée et nécessite un permis de chasse, comme celui que nous avons trouvé dans les archives communales d’Aubière.

Permis de chasse de 1855
(Archives communales d'Aubière)

Halte aux braconniers !
En 1809, des Aubiérois chassaient toute l’année sur un vaste territoire, comme au temps des seigneurs. Mais les plaintes des cultivateurs et les procès-verbaux des gardes-champêtres s’amoncelèrent sur le bureau du Préfet. Son conseiller écrit au maire d’Aubière :

(Archives communales d'Aubière)

Clermont-Ferrand, le 17 novembre 1809
Le Préfet du département du Puy-de-Dôme au maire de la commune d’Aubière,

Je suis instruit, Monsieur le maire, et j’ai sous les yeux la preuve écrite que les nommés Chabosy, Noëllet et Tailhandier, cultivateurs de votre commune, se permettaient de chasser continuellement non seulement dans les territoires de votre commune mais encore dans celles de Cornon (1), Romagnat et autres environnantes, sans respect pour les propriétés et foulant aux pieds les récoltes ; déjà plusieurs plaintes m’ont été portées, desquelles il résultait encore une nouvelle preuve que ces particuliers seraient des braconniers de profession qui feraient de la chasse leur principale occupation et se rendraient redoutables aux petits propriétaires qui n’osent se plaindre des dommages qu’ils éprouvent par les courses continuelles de ces individus. A la vérité, ils sont pourvus de permis de port d’armes, mais les permis, qui ne leur ont été accordés que pour surveiller avec plus de sureté leurs propriétés, ne peuvent les authoriser à en abuser au point de ravager les récoltes d’autruy, et surtout dans d’autres communes que la vôtre.
Déjà un jugement du 21 septembre 1808 les a condamnés à l’amende pour avoir été surpris chassant dans la plaine de Sarliève ; d’un autre côté les procès-verbaux les dénonçant comme chassant suivis de plusieurs chiens et parcourant indifféremment les communes, cette conduite, Monsieur le maire, n’est pas celle de la simple surveillance des propriétés personnelles, mais bien celle d’un chasseur décidé et d’un braconnier de profession.
Il résulterait donc que l’avis favorable que vous avez donné lors de leur demande en permis de port d’armes serait un avis surpris à votre religion et donné sans connaissance de cause.
Je vous invite, Monsieur le maire, à faire venir ces particuliers devant vous pour les blamer sur leur conduite journalière, et les assurer que si de pareilles plaintes me reviennent encore, je retirerai les permis et leurs armes ; vous leur observerez que le permis de porter un fusil de chasse ne leur donne pas le droit de chasser sur le terrein d’autrui, s’il s’y refuse, et encore moins dans une commune étrangère à celle de leur résidence, mais seulement de surveiller leurs propriétés et d’empêcher que rien ne les endommage. Vous ferez surveiller ces particuliers par votre garde-champêtre qui devra vous rendre compte du résultat de sa surveillance, et vous voudrez bien me rendre celui des mesures que vous aurez pris pour obliger ces particuliers à ne plus donner lieu à des plaintes dont l’effet retomberait infailliblement sur eux.
J’ai l’honneur de vous saluer,
Le conseiller en préfecture remplaçant le Préfet,
signé illisible

(Archives communales d’Aubière)

Notes :
(1) - Cornon : Ancienne graphie de Cournon d'Auvergne.

jeudi 21 juin 2012

Une fête de la Musique en 1928


La « Gauloise » fête la Saint Verny en musique

Place des Ramacles : Défilé de "La Gauloise" en 1925
 
Un article de la presse de l’époque :

« Les musiciens de « La Gauloise », qui sont de vrais artistes, et dont la plupart cultivent la vigne avec presque autant d’amour que la musique, ont la vieille habitude de célébrer, chaque année, une fête solennelle et jolie en l’honneur de Saint Verny, patron des vignerons d’Aubière. Cette année la fête était double : nos amis de « La Gauloise », en effet, avaient devancé, de quelques jours, le calendrier et confondu délibérément la Saint-Verny avec la fête nationale de Jeanne d’Arc. Ils associèrent ainsi dans un pareil et religieux hommage le Saint de leur petite patrie et la Sainte de la grande.
La fête débuta, suivant l’usage, par une messe célébrée, à 9 h. 30, dans l’église d’Aubière, devant une foule immense et recueillie. À l’évangile, M. le chanoine Bayle prononça le sermon de circonstance. L’orateur – on sait en Auvergne que M. le chanoine Bayle en est un – retraça la vie miraculeuse de Jeanne d’Arc et l’histoire non moins extraordinaire de sa protection posthume, le long des siècles, sur notre pays. Il établit entre sa vie et celle de saint Verny, un parallèle original et émouvant, dont il dégagea, avec éloquence, les enseignements.
Pendant la cérémonie, « La Gauloise » exécuta quelques-uns des beaux morceaux de son répertoire, sous l’habile direction de M. Montel, son talentueux chef de musique. Patrie, de Bizet ; Sérénade, de Schubert ; Sirènes for ever, d’Andrieu, furent particulièrement goûtés par l’assistance.
Après la messe, eut lieu le défilé habituel, avec les tambours et les clairons. Les jeunes gymnastes de la « Fraternelle » d’Aubière ouvraient la marche, avec leur drapeau. Puis venaient, groupés derrière la bannière de « La Gauloise », les membres honoraires et exécutants de la Société. Sous le ciel ensoleillé, dans une atmosphère d’enthousiasme, le long cortège brillamment ordonné, parcourut les places et les principales rues de la ville, salué par les acclamations des spectateurs. Ceux-ci avaient tout à coup la surprise de voir saint Verny en personne descendu du ciel et venir au devant des musiciens, muni d’un parachute. Ils ne tardèrent, d’ailleurs, pas à savoir que saint Verny n’était, en l’occurrence, que le messager de l’aviateur Michel, un ami de « La Gauloise », qui survolait le cortège. Celui-ci se disloqua devant l’Hôtel Montagnon, où devait être servi, dans la salle des fêtes de « La Gauloise », le banquet traditionnel.
Cette salle, gracieusement décorée pour la circonstance, garde pieusement ses souvenirs.
On y admire deux jolies toiles, dues à des artistes de talent, qui représentent sainte Cécile et saint Verny, patrons de la Société. On lit sur les murs les diplômes obtenus par celle-ci depuis ses origines et on y contemple les portraits de ses fondateurs et de ses anciens présidents. C’est toute une noble histoire qui est là résumée, et que les vieux de la Société content aux jeunes avec orgueil ou attendrissement. Car « La Gauloise », qui est probablement la plus ancienne musique de notre département, a dû lutter, héroïquement parfois, pour assurer sa prospérité, tout en maintenant son indépendance. Fondée au lendemain de la guerre de 1870, elle a manifesté sans répit, et malgré de dures difficultés, une vitalité étonnante. Et aujourd’hui, bien que privée de toute subvention officielle, elle va fièrement son chemin et regarde l’avenir avec une tranquille confiance.
C’est en évoquant le passé glorieux que les membres et les amis de « La Gauloise » prirent place autour des tables.
Le banquet – un banquet de 150 couverts – fut présidé par M. Pezant, président de « La Gauloise », entouré, à la table d’honneur, de MM. Mombarin, directeur de l’Harmonie Bergougnan, de Frettes, chef de musique du 92ème régiment d’infanterie, Montel, chef de musique de « La Gauloise », Johannet et Montel, présidents d’honneur de « La Gauloise », Vacher, vice-président, Chataigner et Téringaud, vice-président d’honneur, Bernard, trésorier, Aubény, secrétaire, docteur Mercier, Tissot, Michel, aviateur, Dormoy, Chatard, architecte, Francione et Peynaud, entrepreneurs, Dumontel, Chauvet, Roche, président de l’Association musicale clermontoise, Barrier, chef de musique de Cébazat, etc…
Le repas se déroula dans l’atmosphère de cordiale gaieté qui est de tradition dans les banquets de « La Gauloise ». Au reste, M. Montagnon, le Vatel aubiérois, dont la réputation n’est vraiment plus à faire, n’avait rien négligé pour satisfaire ses hôtes. Le service fut impeccable et le menu copieux et succulent. »
[…]

(© - L’Avenir du 15 mai 1928)

Suivez l'histoire et la généalogie d'Aubière sur :  http://www.chroniquesaubieroises.fr/
 
 

samedi 16 juin 2012

Soirée musicale sur les caves

Organisée par l'Association de Sauvegarde des Caves d'Aubière (ASCA), cette soirée musicale a eu lieu hier soir (15 juin 2012) sur le site des grandes caves à Aubière (plateforme Savaron).

Elle réunissait l'Harmonie aubiéroise, la chorale Chant'Aubière et le Club d'Accordéon pour le plus grand plaisir des oreilles des spectateurs.

L'Harmonie aubiéroise chauffe ses instruments en attendant les derniers spectateurs...
La chorale Chant'Aubière prend le relais...

Enfin, le Club Accordéon, pour clôturer cette magnifique soirée ensoleillée !


Crédit photos : Pierre Bourcheix

jeudi 5 janvier 2012

2012 : Voeux du Maire

Avis à la population
et à nos adhérents

Monsieur le Maire d'Aubière recevra ce samedi 7 janvier 2012, à la salle du COSEC :
les associations, à partir de 10 heures ;
toute la population, à partir de 11 heures.

La cérémonie sera suivie d'un pot.

mardi 3 janvier 2012

Bilan 2011



Ce blog a été créé le 28 novembre 2011. Le bilan sera donc vite tiré.

2487 vues dont 328 pour notre exposition de décembre !

Une vingtaine de pays se sont connectés dont la France (86%), la Russie (6%), les États-Unis (4%) et l’Allemagne (3%) ; mais aussi l’Inde, le Royaume-Uni, le Canada, l’Algérie, le Japon, le Portugal, les Pays-Bas, l’Ukraine, le Viêt Nam, l’Australie, la Serbie, et d’autres encore…

En 2012, nous allons développer et enrichir ce blog, miroir de la généalogie et de l’histoire aubiéroises.

samedi 31 décembre 2011

Nouvel An 2012


Le Cercle généalogique et historique d'Aubière
vous souhaite une bonne et heureuse année 2012
Que tous vos souhaits, tant généalogiques que familiaux, se réalisent !